79-Quelle est la place de l'art-thérapie dans les institutions de soins ?

Quelle place pour l'art-thérapie dans les institutions de soins ?
€ 13,50
3 euros de frais de port pour la Belgique
10 euros pour l'Europe

Table des matières

Editorial, par J.-M. Longneaux
Au fond :
Quelle clinique de la création ?, par Fr. Emmanuel Tirtiaux
Qu’est-ce que l’art-thérapie ? Eléments fondamentaux et constitutifs, par M. Reynaerts
Le geste artistique au cœur d’une rencontre qui peut faire soin, par H. Wardavoir
Création et intégration au monde, par Fr. Rolland, PFCSM-OPGG
L’artiste intervenant en milieu d’aide, d’accueil et de soins : conserver la part mystère, rendre visible l’insaissable, par E. Williot
L’art peut-il soigner ?, par M-Fr. Meurisse
Les principes éthiques de l’artiste professionnel intervenant en milieux d’accueil, d’aide et de soins, par La commission Art et santé de Culture & Démocratie
Une éthique en construction en art-thérapie, par Th. De Man-Mukenge
En pratique
L’art-thérapie au service du mieux-être de la femme atteinte d’un cancer « gynécologique » : expérience d’une intervention artistique en milieu de soin, par I. Doulliez
L’heure atelier asbl, par Fr. Calonne
P(a)nser à autre chose, par Chr. Ghin
Pratiques artistiques en santé mentale, par la Plate-forme de Concertation pour la santé Mentale en Région de Bruxelles Capitale
La chambre des merveilles : un espace de création avec les malades d’Alzheimer, par S. Cavaglia
La musique à la rencontre de la condition humaine : les enfants de la rue, par T. Nguyen
 

Editorial

Le recours à l’art thérapie reste sous exploité. Les études, pourtant, se multiplient qui démontrent qu’il améliore le destin de nombreux malades : ceux qui, tous âges confondus, souffrent de maladies psychiatriques ou de lésions neurologiques, les personnes en situation de handicap mental, les personnes âgées démentes, les patients atteints de la maladie de Parkinson, mais aussi les femmes qui ont traversé un cancer gynécologique, ou encore les enfants victimes d’un traumatisme. A vrai dire, on ignore à qui cette approche ne serait pas profitable. 

Lire la suite de l'éditorial

Back to Top